
Un homme disparaît, met un point d’interrogation à la suite de son enfermement dans une orientation trompeuse. Avec la précision de la cruauté, Caterina Bonvicini met en scène la façon dont les femmes de la vie de cet homme continuent à être elles-mêmes, sans excuse. Satire acide du milieu bourgeois cultivé milanais, de l’enfer de la famille, mais surtout des masques qui finissent par nous définir.
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