
L’achat et le Mal, l’oppression et les fantasmes douteux dont elle se nourrit, la fantaisie comme expression d’une mélancolie souveraine. Dans son style ondoyant, miroitant comme la mer, Anna Maria Ortese écrit un roman où la métaphysique se fait aventure, la connaissance de soi agonie, la littérature un mensonge magnifique, sombre comme un envoûtement. L’iguane ou l’imaginaire, failles et ténèbres, au pouvoir.
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