
Pourquoi pas un pont vers le passé, vers les présences potentielles. Dans sa langue de douceur, délicate à broder à partir de ce qui n’est jamais trop connu, l’amour et l’amitié, Antonin Crenn dessine une nouvelle déambulation où sa très sensible appréhension du décor devient visage attendrie de la perte, possible consolation temporelle. Laissez-vous prendre à la musique, faussement naïve, des dérivations fictives des Présents.
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