Inventer l’endroit où l’on revient, d’où l’on s’élance, où rêve et vit. Dans une prose sinueuse, flâneuse, Lionel Bourg fixe, sans les figer, les contours flottant de son territoire imaginaire. C’est là que j’ai vécu mêle alors une description en promenade de Saint-Étienne, une évocation de ses noms et des bribes d’histoire et de luttes qui s’y attachent à un essai d’appropriation d’une poésie vécue.