
La vie comme un jeu, une répétition sérielle, la reconnaissance d’un premier amour qui ne vient pas, — synchronicités et autres revenances d’une vie fantomatique, en quête d’elle-même. Emmanuel poursuit, reprend, dispose autrement, sa réflexion sur nos masques autour de l’abîme, les dissimulations de nos lucidités, nos fusionnels désirs inassouvis, nos fugues. La reconnaissance se présente comme un habile récit plein de réminiscences, de paris, d’effleurement de l’amour, du possible, de la présence au monde.
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