S’approprier la perte, retrouver l’ardente insouciance de la jeunesse, regagner l’attrait de son spectacle, s’inventer une histoire. Saltimbanques raconte la mort d’un frère, les détours d’un deuil impossible par la peine en apparence injustifiée qu’elle suscite. François Pieretti joue des flottements de son narrateur dans une fine évocation de l’absence.
Étiquette : François Pieretti
Pour éviter le cafard du bilan, la fausseté du regard rétrospectif ou imbécillité journalistique du coup de cœur ou autre classement marchand, un bref coup d’œil sur les livres dont je vais vous parler d’ici peu.