Roman traversé d’apparition, de cérémoniaux d’une magie enfuie, d’esquisses d’interprétation mais surtout récit au présent de l’adolescente d’une orpheline en pleine transition politique, Le bûcher offre une permanente et tenace opacité. György Dragomán emporte dans la puissance de sa prose elliptique, d’une fausse simplicité.