Première évidence : le manque d’écriture. Remarque dont la stupidité tient à l’impossibilité de l’étayer, surtout pour un ouvrage traduit. Pourtant, frappé par une platitude, un vocabulaire sans heurt ni la moindre impression de décalage. Dommage que ce style ne touche pas à la brutalité, à la confusion, auxquelles prétend l’auteur. Dans toute la première partie, il pointe l’hypothèse de ce mal généralisé, de ce nazisme auquel tout pourrait se comparer.