Récit de l’étrangeté, de la confrontation à la claustration, à la mort et à sa mémoire. Dans une langue ciselée et propre à rendre les errances mentales et les écarts oniriques, Raymond Penblanc plonge le lecteur dans l’histoire d’un fils découvrant la mort de son père. Les trois jours du chat révèle alors le poids des silences, de la folie ordinaire d’une famille en déshérence.