
Récits de brèves proses, rieuses fantaisies sur l’instant d’après, les éclats de notre grand désordre – les subsistances de nos postcombustions – morts et ruptures pour dire l’amusante absurdité de notre monde. Douceur et décalage, mélancolique distanciation ; ironie sur l’ordinaire non-sens de nos vies banals et effacées. Après l’éternité : un flottement, une délicatesse ouatée, la contemplation parfois aussi de toute la vanité, des vies qui s’en vont, comme ça. Étienne Verhasselt raconte la fin de nos mondes avec une belle légèreté.
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