Avec son idée originale d’un comité occulte chargé de falsifier la réalité, Les falsificateurs déroule un scénario fascinant. Dans une langue à l’efficacité hélas un peu trop plate, Antoine Bello nous rappele à quel point le XXème siècle fut romanesque. Une belle plongée, toujours didactique, dans la constitution de nos faits. Hélas toujours un rien trop factuel.