Les vies de papier livre un portrait intime et doucettement ironique d’une vieille femme égarée dans ses livres, retranchée dans ses traductions dans un Beyrouth en proie à une succession de guerres. Alameddine nous offre ainsi une brillante réflexion sur la littérature en tant qu’elle offre une puissante et insidieuse nostalgie pour ce qui n’a pas eu lieu.