
Laisser des haïkus, laisser survivre la saison et le paysage, construire par ces relations boréales ce qui tiendraient à la fois de la prose et de la poésie, de l’île et du continent, du récit et de l’essai, de l’invention d’une nation à la capture de son paysage. Un peu partout au Canada, Charles Sagalane construit des cabanes à livres, autant d’endroit où recueillir la survivante fugacité des sensations.
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