Journal de bord d’une littérature vivante, rendue à sa propre étrangeté, « mémoire des souvenirs », indignations justifiées et toujours ce rigoureux souci de la langue. Immense traducteur, André Markowicz, sans se plaindre ni s’expliquer, en parlant de son travail plus que de lui-même, de la langue de ses souvenirs et de ses échos, se révèle tel qu’en lui-même. La richesse de ses chroniques se déguste comme autant d’invitations à y inventer nos propres échos.