
Le renversement, corporel, du langage. Quatre récits où tordre la langue, dire — souvent dans un jeu sur ses sonorités — sa dévoratrice violence, ses tacites ressassements solitaires. Dominique Quélen paraît interroger jusqu’où peut aller sa langue, son invention derrière les contraintes que l’on devine sans pouvoir, devoir, les préciser. quélen = enqulé ou ce que le langage doit au corps : souvenir, intromission, expulsion et autres métaphores du silence.
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