
Derrière l’agacement, la suffisance du c’était mieux avant, 24 fois la vérité mène une réflexion sur la vérité de l’image, romanesque ou cinématographique, les spectres qui la hantent mais aussi, avec un peu plus d’insistance, l’immédiateté numérique qui en ferait un flux de pur virtualité. Dans un jeu de doublure, derrière un détestable narrateur, Raphaël Meltz continue à interroger le réel romanesque, sa matérialité, son impact sur l’époque, sur la vie qu’il faut continuer à en exiger.
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