La Corée du Nord, en 1989, par une candide adolescente bulgare. Dans son premier roman, Velina Minkoff pointe avec une ironie constante l’enthousiasme possible derrière la propagande. À hauteur de son personnage et de ses prosaïques préoccupations, avec dès lors une langue un rien plate car enferrée dans la gangue d’un réalisme sans nostalgie d’être d’une incroyable précision, ce court roman fait vaciller nos représentations, toujours préconçues.
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