
L’enfance et la lecture, le lien à une langue étrangère, l’importance de la littérature, de ce monde d’avant, de sa culture, de son ascétique héroïsme moral débusqué dans l’essai consacré à T.E Lawrence. Cette autobiographie en lectrice, ce recueil de textes variés, permet de découvrir l’ombre de la sensibilité de Victoria Ocampo, la si grande importance qu’elle accorda à la découverte et aux partages des littératures venues de partout. Il se dégage de ce livre un charme suranné où la culture apparaît comme un complexe de classe, la sensibilité comme incarnation de cette bourgeoisie internationale disparue, émouvante.
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