Sous ses allures de roman-feuilleton, de récit rocambolesque aux rebondissements rythmés, de roman noir paré d’une inquiétude fantastique, Les envoûtés annonce les obsessions de Gombrowicz. Des doublures du moi au cauchemar de la ressemblance, Gombrowicz interroge les motivations de nos comportements. On se laisse prendre à cette lecture dont même les doubles fonds sont trompeurs.